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Description du produit
Francesca Woodman. Il s'agit d'une pièce unique (1/1) en excellent état. Le corps bouge, vibre, se débat, elle place des miroirs et des accessoires insolites, une fleur, un serpent, une peinture écaillée, un vieux papier peint déchiré, une peau de bête et des taches de lumière qui pénètrent clandestinement dans l'espace. Des éléments qui sont pour elle des motifs récurrents dans sa recherche créative et qui la métamorphosent en images insolentes, déroutantes et d'une rare intensité évoquant l'éphémère, la fugacité du temps. Les mises en scène qu'elle développe à l'intérieur de pièces dépouillées, au milieu d'espaces décrépis, de maisons sur le point d'être démolies, dépassent le genre strict de l'autoportrait. "J'ai l'impression de flotter dans le plasma. J'ai besoin d'un professeur ou d'un amant. J'ai besoin de quelqu'un qui prenne le risque d'être avec moi. Francesca Woodman Elle possède un univers particulier, étrange, onirique, subjectif, où le corps bouge, vibre, se débat, où elle place des miroirs et des accessoires insolites, une fleur, un serpent, une peinture écaillée, un vieux papier peint déchiré, une peau de bête et des taches de lumière qui pénètrent tous clandestinement dans l'espace. Des éléments qui sont pour elle des motifs récurrents dans sa recherche créative et qui la métamorphosent en images insolentes, déroutantes et d'une rare intensité évoquant l'éphémère, la fugacité du temps. Les mises en scène qu'elle développe à l'intérieur de pièces dépouillées, au milieu d'espaces décrépis, de maisons sur le point d'être démolies, dépassent le genre strict de l'autoportrait. "J'ai l'impression de flotter dans le plasma. J'ai besoin d'un professeur ou d'un amant. J'ai besoin de quelqu'un qui prenne le risque d'être avec moi. Francesca Woodman a su transcrire dans ses photographies, comme dans autant de miroirs, des images qu'elle conçoit toujours à l'avance par des croquis préparatoires, capable de suivre spontanément ses émotions, elle sait mettre en scène ses conflits intérieurs, ses tourments profonds. Elle utilise son corps pour dialoguer avec elle-même en projetant des images et des symboles, des espoirs et des craintes qui traduisent le fait d'être femme. Elle habille sa chair et semble disparaître dans l'au-delà, toujours inquiète de son existence, elle pose toujours dans des décors, des pièces aux sols et aux murs délabrés, faisant ici un de ses nouveaux autoportraits hors du commun. Dans ses photographies, son visage disparaît parfois, elle le cache, le maltraite, l'agite dans des espaces vides, abandonné, souvent nu, son corps est dépouillé de tout artifice, abandonné, en réponse aux murs délabrés et marqués qui forment la scène de ses compositions, dans lesquelles son visage, son sexe, son identité sont effacés. À partir de 1975, à Providence, elle intègre l'un des principaux instituts artistiques des États-Unis, où elle poursuit intensivement l'étude de la photographie, à la "Rhode Island School of Design", et commence immédiatement à se photographier comme ce cliché parmi tant d'autres, ce qui fait d'elle une référence incontournable dans le traitement photographique de l'autoportrait. Son leitmotiv est d'explorer sa propre image avec imagination, ce qui la conduit à des réflexions sur la technique photographique et l'écriture. Elle passe ensuite un an à Rome de 1977 à 1978, où elle réalise de nombreuses séries photographiques qu'elle entreprend de réaliser dans des lieux abandonnés, séries qu'elle intitule "On being an angel", et "l'anguille".
Caractéristiques
ÉtatExcellentCouleursMulticoloreMatériauPapierQuantité1Hauteur18 cmLargeur18 cm